Shopping Fever...
Et non, je n'ai pas encore fini de vous bassiner avec Les Etats Unis. Pourquoi ? Parce que c'est la première fois de ma vie (et oui, il faut bien un commencement) que je pars en voyage sciemment avec une valise, et que je rentre avec trois. Sans compter les bagages à mains, sacs à dos gonflés à en rompre les coutures.
Parce que ma shopping list était établie bien à l'avance, encore une fois le fruit de vieux souvenirs et de fantasmes mi-avoués.
Parce qu'aux Etats Unis, les Converse, ça coute une misère.
Voila.
Alors au risque de LA plagier (si par hasard, elle passe par ici, j'espère qu'elle m'en excusera, mais c'était dur de résister), voila ce qui est rentré avec moi :
Chuuut.... Je ne veux pas entendre parler de pieds plats cette fois-ci. On est Converse addict, ou on ne l'est pas. (Clin d'oeil particulier à Lilou au passage). Je n'ai pas pris en photo mes 3 paires existantes, fatiguées, sales, elles auraient déparé dans ce bel océan bleu et blanc. Hum.
Pour revenir un peu plus sérieusement sur le shopping américain, les alentours de Vegas sont fournis en Outlet Stores, sortes de magasins de fin de séries, aux prix réduits. Si déjà les prix américains m'ont paru bas, il faut y retrancher la conversion €/$ qui ont fait carrément disparaitre les étiquettes. J'ai donc ravalé ma bonne consicence de consommatrice qui essaye d'être responsable et raisonnable. J'ai cédé aux sirènes de la dépense facile et sans douleur, rempli mes shopping bags de noms prestigieux en semant les billets verts sur mon passage, abreuvant le commerçant américain de mon enthousiasme à écumer les rayons (Richard, si tu lis ce post, ne tape pas, par pitié).
Mais pour nous ramener à une réalité économique un peu moins rose et sucrée, je vous rapporte le mot de conclusion de la transaction chez Converse, justement.
Le gérant du magasin nous a dit au revoir en rajoutant "Thank you for shopping with us. We need it".
Oncle Sam aussi, a besoin d'une paire de Converse neuves. Ils en avaient, en Stars & Stripes.